l’espagne a rosalía, la suisse a baby volcano. du français à l’espagnol, l’artiste souffle le chaud et le froid en roulant ses mécaniques rap, trap et électropop. murmure incandescent, rage calfeutrée, sa ligne minimaliste conjugue les contraires en un tout magnétique et fascinant. sur scène, elle se transforme en performeuse masquée à l’instinct organique et offre un show qui vous prend aux tripes.

c'est l'histoire d'une reconquête de soi, par le mouvement. les mots et les sons se frottent. la proposition est organique, pulsée, portée par un duo inédit. c'est un voyage au pays de la nuit et de la poésie performée.

pop frenchy et chic.

pop lumineuse. camp claude est composé de deux membres de tristesse contemporaine et de diane sagnier. en studio, ils dépassent les frontières et décloisonne les genres. un savant mélange de beats et de sensualité vocale guide leur travail, sublimé sur scène par les machines et la voix envoûtante de diane.

si chien noir assume une référence, ou une inspiration, c’est celle de l’américain sufjan stevens, avec son album carrie & lowell. il s’est reconnu dans ce disque, qui lui a montré la voie pour transformer un limon biographique en chansons lumineuses. la musique a ce pouvoir, et les chansons de chien noir en sont assurément dotées.

« la musicienne-chanteuse traverse les genres sur “in nomine corpus”, un premier album à l’univers vaste et fascinant. »

« un disque beau et profond. ffff »

chanteuse et compositrice qui convoque volontiers la tradition du carnaval et octroie à la chanson cette magie de la fête où la fantaisie est reine ! cléa vincent est une valeur de la pop française qui monte, avec un style bien marqué au parfum yéyé et eightees…

czesare écrit et compose alors des chansons en bousculant les styles : pop, groove, funk, alternatif et rock se mélangent pour chanter sa solitude, ses démons, ses questionnements sur le genre et ses désirs.

des compositions écorchées vives et une belle voix rauque

henriette offre une chanson pop tantôt mélo, parfois rétro, souvent dramatique, et convoque avec elle sur scène le chanteur christophe, anaïs nin ou encore marina abramovitch

la révolte transformée en cri collectif, voici l'incendie résurrecteur que propose ce duo en relation libre, qui invite toute personne à dire et devenir son propre phantasme.

rigide et souple, onirique et toute en physicalité, technologique et organique, sa techno frappe par son énergie hédoniste, voire érotique. pensés comme des rituels, ses live fleuris en duo avec le percussionniste sizo del givry sont de grands moments de transe sentimentale.

la divine comédienne à la voix suave, incarnation du chic-intello à la française présente treize titres savoureux et plein d’émotions, composés par cléa vincent où se mêlent tragique et fantaisie espiègle sur des mélodies pop acidulées, des valses synthétiques au tempo jazzy ou encore une rumba afro-électro

sa voix soufflée est un appel d’air et ses fins de morceaux, des portes dérobées qui emportent ailleurs. sa musique en phase avec son temps fait entendre l’avenir et déconstruit la pop made in france, la métisse, la densifier y ajoute sa touche de génie et son grain de mélancolie.

ses chansons font preuve d'une volonté de dire la rencontre du vulnérable et de l'indomptable, en notes et en mots déliés, personnels et actuels.

batteuse et percussionniste de formation classique et contemporaine, lucie antunes s'inspire des pionniers du minimalisme et travaille avec le désir de créer de nouveaux horizons sonores.

MALVINA fait office d’exception dans l’industrie musicale : pianiste, compositrice, arrangeuse, productrice, chanteuse et pole dancer, cheffe d’orchestre et domina. artiste accomplie, naviguant entre la pop, l'électro, le punk rock, le métal, la techno et l'hyperpop, elle entérine sa singularité et la consacre en héroïne baroque ultra contemporaine, fascinante et iconoclaste.

la graine de son inspiration, de son urgence à se faire entendre, se situe dans le croisement de l’intime, du partage, et de la conviction.

entre trap, hip-hop et dancehall, une rappeuse un tantinet mystérieuse portant haut le flow du français et du créole de la martinique, l’île qui l’a vue naître.

personnalité musicale singulière, le goût des expériences, une voix qui transporte les émotions. du coup, les étiquettes ne collent pas sur ses chansons. c'est de la pop au sens large. de la musique d'aujourd'hui, avec une histoire qui remonte au gospel, au cabaret et au vécu. c'est de la soul blanche, de la musique du corps, qui vient des tripes, remonte et s'affine le long des cordes vocales.

aux frontières de la pop indépendante et de la folk, sa musique aérienne alliée à un timbre ensorcelant évoque les univers oniriques de kate bush, pj harvey ou beth gibbons de portishead. seule sur scène, naomi explore simultanément les territoires musicaux et les espaces intérieurs, diffusant, par l’alliance d’une musique cosmopolite et de paroles intimes, sa mélancolie brutale.

une mue, une renaissance piano-voix, un album solo hautement spirituel pour lequel la musicienne s’autorise à oser l’intime, à habiter les ombres, érigeant l’épure au rang d’art du soin et de la réconciliation.

l’effusion soudaine des ruptures porte en elle la renaissance, l'affirmation de soi. à travers les lumières irradiantes, l’épaisseur de ses claviers froids se conjugue avec son écriture intime. d’une voix assurée, nina nous plonge dans cette introspection à travers son propre espace sonore. loin des cendres, désormais libre.

"her voice and the asymmetrical production morph into a beautifully chaotic tapestry of strings, harmonies, voices and ad libs, birdsong and text notification beeps – ebbing and flowing unpredictably but with moving ease.”

une correspondante française de charli XCX, lorde et lana del rey pour cette minutieuse recherche esthétique.

au son des boites à rythmes, des guitares hurlantes, des synthés et des choeurs aériens, les paroles en français racontent le doute qui survient au début de l’âge adulte, comme criées au milieu d’une musique parfois chaotique, puis qui s'apaise et rappelle le calme de l’enfance.

« s’inspirant autant de billie eilish ou de FKA twigs, elle passe son temps dans sa chambre pour écrire, composer et enregistrer ses premiers morceaux. les années passent, elle aiguise sa voix suave et fragile, ses textes gagnent en poésie et les prods deviennent de plus en plus électro. YOA propose une expérience scénique aussi troublante qu’hypnotique où le jeu et la danse sont omniprésents. »